Bad boys du cyclisme

 

 

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On est bad boy, non parce qu’on est mauvais garçon ou détenteur d’un casier judiciaire, non, on l’est à cause d’un caractère trempé, avec l’attitude et les mots qui comptent en conséquence. Et pour l’Histoire.

Ici, à travers le temps, de 1900 à nos jours, découvrons quarante portraits de ces bad boy(s) du cyclisme, dressés, un peu, à la manière de ceux de La Bruyère. Ainsi, le diabolique Choppy Warbuton ; l’irascible Henri Pélissier ; l’impétueux Francis Pélissier ; le ramenard André Pousse ; l’instable Roger Pingeon ; l’orgueilleux stratège, Cyrille Guimard ; le « graniteux » Bernard Hinault ; l’ironique Laurent Fignon…

Mais, c’est aussi, le duel Desgrange-Giffard, alimentant la guerre de la presse et la création du Tour vers la Belle Epoque, Bernard Tapie, sponsor de la Vie Claire auprès de Bernard Hinault, bref, tout ceux qui collaborent à faire du cyclisme, regardé sous l’angle pittoresque et pertinent, un sport hors normes qui véhicule sa légende via des personnalités vaillantes et attachantes.
Vous avez dit Bad Boy ?

 

 

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