Je reste dans l’esprit du vélotaf à itinéraire variable : le matin, tu es un peu pressé par le temps, tu prends au plus court ; dans la semaine, tu peux traîner un peu au retour sauf si tu as encore du travail à faire ; le vendredi, veille de week-end, tu allonges un peu ou tu profites, ça prépare à la sortie prévue …
Ça permet aussi de varier l’itinéraire … Se taper 2 ou 3 fois par semaine le même itinéraire, même pour la bonne cause (la santé, la couche d’ozone), c’est pas folichon. Par contre, ça habitue les autres usagers, ils savent qu’ils vont rencontrer un vélo, j’en ai vu changer leur attitude, l’habituation amène l’attention, le respect …
Et quand il y a du relief, les autres usagers font comme toi : ils roulent moins vite.
Ça permet aussi de varier l’itinéraire … Se taper 2 ou 3 fois par semaine le même itinéraire, même pour la bonne cause (la santé, la couche d’ozone), c’est pas folichon. Par contre, ça habitue les autres usagers, ils savent qu’ils vont rencontrer un vélo, j’en ai vu changer leur attitude, l’habituation amène l’attention, le respect …
Et quand il y a du relief, les autres usagers font comme toi : ils roulent moins vite.
J’espère que la situation que nous vivons va remettre beaucoup de choses en questions, comme notre rapport au transport : plus de covoiturage, de transports en commun (les infrastructures doivent suivre aussi), et plus de vélotaf. Jusqu’à 30/45 minutes, c’est jouable et on en ne « perd » pas trop de temps par rapport aux 2 roues motorisés ou aux 4 roues. En ville, on en gagne même !
Et plus il y aura de vélos sur les routes, moins il y aura d’accidents : les autres usagers comprendront et accepteront qu’il faut partager la chaussée …