Secure velotaffing

ce Avant l’arrivée du COVD-19, je n’aurais peut-être pas cherché à varier autant mes trajets de vélotaf.

Mais comme je le fais plus souvent qu’avant, que je veux le faire encore plus souvent (là par contre, les contraintes horaires, les impératifs ou les imprévus de fins de journée à l’école, le poids des sacoches, guideront mon choix de trajet) et comme je veux aussi réduire autant que possible ces portions goudronnées de D45 et D20 quand même dangereuses … Il suffit d’un abruti … Sur un vélo, ce risque-là est périlleux … Et des abrutis sur les routes, j’en croise souvent … Abruti ou inconscient : tellement de conducteurs d’engins motorisés pensent maîtriser leur véhicule et donc se donnent le droit de rouler vite ou de te doubler de trop près (1,50 m !) ou sans visibilité, « Moi, je contrôle ! Je sais ! » …
Nous en avons encore eu l’exemple il y a quelques jours à Garidech : quelle que soit la raison de sa présence en bord de route, quel que soit le jugement qu’on peut porter à voir des piétons marcher le long des RN ou des RD, un piéton a été mortellement fauché, c’est affreux.
Le danger ne vient pas de ce piéton ou de cycliste, il vient des autres usagers. Bien sûr, nombreux cyclistes ou piétons ont aussi des comportement dangereux et donc inconscients …

 

2020 11 (2)

 

Je varie donc les plaisirs … Et quoi de mieux qu’un moment de sport et de détente avant ou après le boulot.

Pour les versions bitumées « courtes », je pense prendre l’option D45B à l’aller (route de Bazus, avec un bon coup de cul), les 4 roues ou 2 roues motorisés vont moins vite (quoique) mais la visibilité est meilleure … Ensuite, bout de D15 (935 m exactement) pour quitter les voies fréquentées jusqu’à Cépet que je rejoins par le Chemin de la Cahusière ou, si le chemin est gras, par Batudel et 1200 m de D20 très dégagée.

Pour le retour, montée à Gratentour par Borde Haute, 992 m de D14 jusqu’à Grantentour (quand les chemins seront autorisés à la circulation, je pourrai réduire complètement cette portion goudronnée), traversée du village, Rue du Coustela et chemins de la Serre et de Labastidole rallier Pechbonnieu. Retour par les crêtes (Saint-Loup-Cammas, Saint-Geniès, Lapeyrouse-Fossat, Girou ou Castelmaurou et Le Cammas) et les routes les plus petites et moins fréquentées et possibilité en zigzaguant quelque peu sur la carte de faire pas mal de offroad et d’éviter donc la D20 …

Cette sécurité rallonge le chemin mais cela en vaut la peine, je vais donc cultiver cette vélosophie du vélotaf à itinéraire variable ou buissonnier …

Et pour la tenue, déguisement de petit poussin adopté !

 

 

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