Faux départ ce matin, je devais partir de Toulouse faire cette liaison entre Mane, le Col de Larrieu, contourner le Pic de Paloumère pour rejoindre la montée au Portet d’Aspet à Henne Morte pour en faire la partie la plus pentue à partir du Pont de l’Oule (environ 4 km avec 9 % de pente moyenne, avec une pointe à 12%) et basculer sur la vallée de la Bellongue pour rallier Villeneuve où nous avons une maison de famille. Le faux départ a eu du bon, cela aurait été vraiment très dur après une centaine de bornes parcourues (j’avais prévu de suivre le Gr861 Via Garona que je connais bien et qui réserve quelques bons raidillons) car ça l’a été dur …
Superbe liaison : de belles pistes en gravier (de quoi mettre tout le monde d’accord sur ce qui est Gravel ou ce qui ne l’est pas, sachant que pour moi, la question ne se pose pas : tout est Gravel), un peu de goudron (notamment dans la montée au Portet d’Aspet, un passage comme je les aime façon Koh-Lanta à vélo, un passage comme je les aime façon Gravel enduro (là c’était carrément Gravel DH, je n’ai pas tout descendu sur le vélo) pour arriver à Henne Morte.
Du sous-bois, de belles vaches et taureaux, de beaux panoramas sur les vallées ou les sommets environnants …
Un type croisé sur un VTT, sans casque, curieux écho avec la stèle en mémoire de Fabio Casartelli où je m’arrêterai un peu plus loin. En 1995, le casque n’était pas encore de coutume, je ne sais pas si Fabio Casartelli aurait été sauvé s’il en avait porté un, mais aujourd’hui, je ne comprends pas que tant de gens continuent de rouler sans casque, « Je sais faire du vélo », « Je ne vais pas loin ». Quand j’étais enfant, je ne portais pas de casque quand j’allais faire du vélo avec les copains, nous n’avions pas de ceintures de sécurité dans les voitures, en tout cas à l’arrière (alors que le brevet existait depuis 1885), aujourd’hui son utilité est indiscutable. Il en est de même pour le casque … Et pourtant …
Mon altimètre recommence ses fantaisies : cette fois, il a rechigné à me donner du D+, pourtant …
La trace : https://www.visugpx.com/LJ4H4LeBsh
False start this morning, I was supposed to start from Toulouse to do this link between Mane, the Col de Larrieu, around the Pic de Paloumère to join the climb to Portet d’Aspet at Henne Morte to do the steepest part from the Pont de l’Oule (about 4 km with an average slope of 9%, with a peak of 12%) and then switch to the Bellongue valley to reach Villeneuve where we have a family house. The false start was good, it would have been really hard after a hundred kilometers (I had planned to follow the Gr861 Via Garona that I know well and that reserves some good steepness) because it was hard…
Superb connection: beautiful gravel tracks (which will make everyone agree on what is Gravel or what is not, knowing that for me, the question does not arise: everything is Gravel), a little bit of tar (especially in the climb to Portet d’Aspet, a passage as I like them like Koh-Lanta on a bike, a passage as I like them like Gravel enduro (there it was definitely Gravel DH, I did not go down everything on the bike) to arrive in Henne Morte.
Undergrowth, beautiful cows and bulls, beautiful panoramas on the valleys or the surrounding summits…
A guy crossed on a mountain bike, without helmet, curious echo with the stele in memory of Fabio Casartelli where I will stop a little further. In 1995, helmets were not yet customary, I do not know if Fabio Casartelli would have been saved if he had worn one, but today, I do not understand that so many people continue to ride without a helmet, « I know how to ride a bike », « I do not go far ». When I was a child, I didn’t wear a helmet when I went cycling with my friends, we didn’t have safety belts in cars, at least in the back (although the patent existed since 1885), today its usefulness is indisputable. It is the same for the helmet … And yet …
My altimeter starts again its fantasies: this time, it was reluctant to give me D+, however …
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