Idée reçue sur ceux ou celles (l’abrutitude n’est pas que masculine) que j’appelle les abrutis de la route.

J’ai plusieurs fois écrit – et je continuerai – sur ces abrutis motorisés au carburant au volant de 4 roues divers et variés ou au guidon de 2 roues de plus ou moins grosse cylindrée qui te mettent en danger en te doublant en te frôlant, en forçant le passage, en te doublant sans aucune visibilité ou en te refusant la priorité, estimant qu’un cycliste ne mérite pas de considération et n’a rien à faire sur une route goudronnée …
Je pensais que ces abrutis ne l’étaient qu’avec moi (le cycliste). Idée reçue ! Erreur ! En fait, ce sont de vrais et permanents abrutis avec tous les autres usagers de la route. Deux spécimens ce soir sur la D20 que je n’emprunte que rarement et à des horaires très creux (il était 19h30) : les deux m’ont doublé vite (une voiture va toujours plus vite qu’un vélo mais celles-là roulaient à plus de 80, vitesse limite) et ont doublé de très près les voitures devant moi en accélérant encore et alors que des véhicules arrivaient en face.

Abruti un jour, abruti toujours ?

 

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