J’en ai déjà peut-être parlé : je m’excuse auprès de tous mes amis « roulants » qui mangent du goudron le reste de l’année et se font plaisir en VTT en automne et hiver (pas de danger à rouler dans le brouillard sur les chemins, il fait moins froid en forêt, …), je ne roule pas avec eux. Je n’ai rien contre vous les gars, mais quand on roule 8 mois sur 12 sur les chemins par beau temps, on n’a vraiment pas envie de s’y coller (c’est vraiment le cas de le dire) en automne ou hiver dans la bouillasse, d’autant moins pour des circuits que je connais par cœur et d’autant moins ici ou la terre colle bien.

J’en connais qui aiment particulièrement ça, n’est-ce pas messieurs les cyclo-crosseurs ? Le cyclo-cross, belle école de pilotage !

Par contre, je ne rechigne pas à aller rouler sur des spots que je ne connais pas même si je dois revenir crado.

En automne et hiver, je roule plutôt sur route (je ne suis pas sectaire), ça me permet de faire un peu plus de bornes par sortie et de travailler le foncier.