14:24, le samedi 11 décembre 2021 Garidech, Haute-Garonne
Riding down to town – In english too
Traversée de Toulouse vers Muret avec de bonnes portions de cyclables, et de vraies cyclables : des voies protégées et bien pensées … Pas des bandes rajoutées au sol entre la voie de circulation et une rangée de véhicules garés, tu te demandes quelle portière tu vas manger … Par contre quand une cyclable traverse un accès à un domicile, un immeuble, un parking, ce serait bon de donner la priorité aux cyclistes, trop de cyclables sont en fait des pointillés …
Et un connard, je suis obligé d’employer ce terme, en fin de balade de nuit du côté de Castelmaurou vers Rouffiac, qui me double en plein virage à droite sans aucune visibilité donc (j’étais suffisamment éclairé, il m’a donc bien vu avant de me doubler, tout ça pour gagner quelques secondes puisqu’on arrivait sur un cedez le passage) et une voiture est arrivée en face, j’avoue l’avoir traité de tout, crescendo en commençant par abruti, lui a juste trouvé comme insulte suprême « Pédale ! ». J’assume, je pédale ! Il aurait pu être plus original, que dis-je un nez, une péninsule …
J’ai tricoté un peu sur le retour pour faire un Granfondo (historiquement le Granfondo faisait 75 miles, soit 120 km, aujourd’hui on le valide à 100 km).
Très franchement, je n’ai pas d’objectif sur le nombre de bornes parcourues dans l’année. Par contre, je cherche à faire régulièrement des longues ou des très longues, je vois plutôt ça en heures ou journée sur le vélo … Je ne m’arrête pas non plus au dénivelé d’une sortie quand je la prépare, c’est après coup que j’apprécie le truc … Malgré tout, je suis assez admiratif devant des 15000 bornes ou plus par an, ça représente quand même soit un grand nombre de sortie (ce n’est pas rare chez les cyclos retraités qui enquillent 3 sorties pas semaine dont une longue), soit de sacrées longues … Ça flatte tout de même l’ego de voir le compteur passer à 5 chiffres …
Crossing Toulouse towards Muret with good sections of cycle paths, and real cycle paths: protected and well thought-out lanes … Not strips added to the ground between the traffic lane and a row of parked vehicles, you wonder which door you’re going to eat … On the other hand, when a cycle path crosses an access to a home, a building, a car park, it would be good to give priority to cyclists, too many cycle paths are in fact dotted lines …
And an asshole, I am obliged to use this term, at the end of a night ride on the side of Castelmaurou towards Rouffiac, who overtook me in the middle of a right-hand bend without any visibility (I was sufficiently well lit, so he saw me well before overtaking me, all that to gain a few seconds since we were arriving on a cedez le passage) and a car arrived in front, I confess to having called him everything, crescendo starting with moron, he just found him the supreme insult « Pédale! « . I assume, I pedal! He could have been more original, what shall I say, a nose, a peninsula…
I knitted a bit on the way back to do a Granfondo (historically the Granfondo was 75 miles, i.e. 120 km, nowadays it is validated at 100 km).
To be honest, I don’t have a target for the number of kilometres I ride in a year. On the other hand, I try to do long or very long rides regularly, I see it more in hours or days on the bike … I don’t stop at the difference in altitude of a ride when I prepare it, it’s afterwards that I appreciate the thing … Nevertheless, I’m quite admiring when I see 15000 km or more per year, that represents either a large number of rides (not uncommon for retired cyclists who ride 3 times a week, one of which is long), or some pretty long rides … It’s quite flattering for the ego to see the counter reach 5 digits …
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